Des Sentiers du Roi Chien de Montagne des Pyrenees

Chien de Montagne des Pyrenees

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Pour la petite histoire....

Ma passion débuta en 1995, sous l'affixe 'du Mas de L'Outïs": contraction des noms de mes premiers chiens: "Louteck et Thaïs".

La vie n'étant pas un long fleuve tranquille, je fus contrainte de choisir un nouveau nom d'élevage, ce qui fut chose faite en 2006: les chiots porteront le nom d'affixe "des Sentiers du Roi".

"Les Sentiers du Roi", c'est tout d'abord un lieu-dit dans les Pyrénées françaises.

C'est aussi un nom qui va comme un gant à ce superbe chien dont la démarche noble et élégante força l'admiration du Dauphin du Roi de France, et qui l'imposa à la Cour.

C'est ainsi que les gentes dames et gentilhomme de la Cour croisaient lors de leurs promenades notre "prince blanc" des pyrénées...sur les sentiers des parcs du Chateau du Roi de France

...sur..."les Sentiers du Roi".

Lieu de vie des chiens

  A la maison, pas de vie de chenil, même si pour des raisons pratiques il y en a un. C'est ce que l'on peut appeller un élevage familial. En journée, les chiens viennent à leur guise à la maison ou vont folâtrer dehors. Ils participent à la vie de la maison. Balades, farnienté sur la terrasse, promenade avec le club de race ou simplement en visite chez des amis. Ils partagent tout, séjour, vacances, bref, la vie, la vraie.

Selon les demandes, nous pouvons vous conseiller un chiot sur la nichée plus qu'un autre en fonction de votre but: compagnie, expositions, travail, mais avant tout nous examinerons avec vous si ce chien vous convient.

Nous avons déjà eu l'occasion plusieures fois de placer des chiots sur troupeau, même un adulte. Malgré leur socialisation depuis la naissance, les chiots se sont révélés tout à fait aptes à la garde de troupeau et même de propriétés plus grandes telles que fermes et château. Les instincts d'origine sont très présents.

C'est ainsi que je privilégie aussi les chiens au caractère spécifique de la race, sociables, mais vrais. Donc des chiens ayant de la personnalité.

Famille

Nos chiens vivent avec nous, jouent et sont manipulés bien entendu aussi par nos enfants. Cet aspect est important pour que les chiots soient habitués aux enfants lorsqu'ils vont rejoindre leur nouvelle famille. 

Soins et entretiens, jeux, promenades, éducation canine, socialisation, rencontre avec d’autres éleveurs, expositions de beauté rythment notre temps libre. 

Même nos vacances sont 'canines', avec notre participation annuelle à la nationale d'élevage de la RACP, qui nous permets alors de vivre avec nos chiens au cœur de son berceau d'origine.

 

Ma vision de l'élevage

 Le laid motif de mon élevage est depuis toujours :« Amour et Respect de la race ».

Amoureuse du Montagne des Pyrénées en tous points, j'aime son expression, ses allures puissantes et sûres, tout en élégance; son caractère fier, dominant et indépendant; j'aime ce chien pour sa rusticité, sa garde sûre, sa beauté mais aussi pour sa fidélité intelligente basée sur la confiance et le respect mutuel avec ses maîtres.

Mes chiens restent chez nous jsuqu'à leur belle mort, d'où le nombre de chiens présents mais retraités.

Les reproducteurs utilisés, possèdent tous un pédigrée officiel reconnu par la FCI et enregistré à la Société Royale Saint Hubert, ou dans leur pays d'origine.

Ils sont tous dépistés au niveau des hanches par radiographie avec sédation (seule réaliste) et je n'utilise que des chiens qui sont exempts de dysplasie de hanche. De même ils sont certifiés indemnes de luxation de rotule. Ceci sur toutes les générations du pédigrée et les lignées sélectionnées. Ils sont tous identifiés au niveau génétique, ainsi, pas de faux parents! Les parents sont certifiés ADN. Une certitude de tracabilité en quelque sorte.

Ma conception de l’élevage se base sur trois points : sélection, santé, beauté, et caractère.

Les mariages réalisés sont le fruit d’une mure réflexion. Avant tout mariage, j' examine les caractéristiques de la lignée et des collatéraux des géniteurs. Fratrie, parents, grands-parents, arrières grands-parents, tous sont importants. Je n’accorde pas beaucoup d’importance aux titres remportés en expositions. Aucun titre, même de champion, ne garanti la qualité génétique d’un chien. Nombreux sont les champions qui n’ont ont pas la qualité réelle, bien malheureusement pour le particulier qui aura alors une fausse idée de ce à quoi doit ressembler un 'bon vrai' montagne.

J'accorde une attention très sévère sur la sélection de parents. L’étalon choisi devra être porteur de qualités complémentaires de celles de la chienne. Je me base sur le standard de race, mon humble expérience, et sur les commentaires des juges spécialistes de la race.

J' accorde donc une grande importance à l’écoute de l’expériences d’autres grands éleveurs, ou amateurs, qui ont toute une carrière derrière eux et savent de quoi ils parlent. Je trouve très important de me documenter, de voir et tâter les chiens dont les noms sont repris sur le pédigrée, ceci en visitant régulièrement des élevages, des expositions ou événements canins. 

Un mariage réalisé entre tel et tel chien, permettra, (je l'espère car rien dans la nature n'est sur et personne ne peut se targuer de l'être), de produire des chiots sains, qui se rapprocheront le plus possible du standard de beauté français de la race. Le standard défini les caractéristiques propres qui font du Montagne des Pyrénées ce qu'il est et le rend si différent des autres chiens blancs.

Ceci n'est pas toujours chose facile, car le chien parfait n'existe que dans nos imaginations. Les accouplements doivent être complémentaires et ne peuvent se faire qu'en fonction des chiens aptes à reproduire en fonction du règlement strict de la Société royale Saint Hubert et de la FCI. 

Lorsque je garde, sélectionne un chien ou en utilise un, c’est avec un seul but en tête : il sera une étape qui permettra de tendre vers un chien de Montagne des Pyrénées ayant le type en beauté et en santé ainsi que le caractère original du Montagne des Pyrénées et non des chiens de salon.

J' informe les amateurs de Montagne des Pyrénées le mieux possible sur les caractéristiques de ce superbe chien afin qu'ils réfléchissent bien avant leur achat de savoir si ce type de chien leur correspond.

C'est toujours un plaisir de revoir les chiots une fois adultes et de pouvoir ainsi voir ce que la sélection, le mariage à apporté. C'est ainsi que nous pouvons avancer dans l'élevage.

Historique du chien de Montagne des Pyrénées

  On émit l’hypothèse, cependant remise en question, que l’ancêtre du chien de Montagne des Pyrénées serait le Dogue du Tibet. On retrouve en Orient des descriptions de l’usage de chiens ressemblant au Montagne des Pyrénées vers 5000 ans avant JC. En Europe, les relevés archéologiques ont constaté des traces de ce chien à partir de l’âge du bronze (4000 av JC). La race s'est développée sur les versants Français et Espagnol des Pyrénées, où il reçut le nom familier de Patou (qui signifie « berger ») et est utilisé pour la garde des troupeaux ovins.

Vers la fin du 14ème siècle, on le retrouve aussi comme gardien des Châteaux de Foix, Carcassonne et Lourdes notamment.

 Au 17ème siècle le Patou débuta avec grande distinction sa fonction de chien de compagnie à la Cour du Roi Soleil où il fit sensation. –de là le choix notre affixe- Il reçoit le titre de « Chien Royal » et fait aussi son apparition sur les armoiries royales françaises.

 Au 19ème siècle, les récits de voyages aux Pyrénées et le développement des cures thermales ravive l’engouement pour cette race. Et en 1863, le chien de Montagne des Pyrénées fut présent à la première exposition canine française.

 A partir de la fin du 19^ème siècle, l’utilisation du Patou diminue proportionnellement avec la disparition des prédateurs.

 Au début du 20^ème siècle la sélection baisse en qualité et le nombre de sujets de race diminue fortement. Des cynophiles passionnés s’organisent alors et fondent les premiers clubs de chiens des Pyrénées qui rassemblent les différents amateurs, propriétaires et éleveurs. Avec la guerre les Patous se font même très rares. Mais la création des clubs de race et le formidable travail accompli par les éleveurs et amateurs sauve la race et permette sa diffusion au niveau national et bientôt international.
En effet, l’importation du Patou se fait à partir de 1930 lorsque plusieurs reproducteurs furent importés en Amérique du Nord et en Angleterre.

Pour ce qui est de son utilisation comme gardien de troupeaux, depuis quelques décennies, il est heureux de constater, dans les Pyrénées ou autres massifs, un regain d’intérêt pour cette fonction ancestrale du Patou. Ceci en conséquence du retour naturel ou la réintroduction du loup, de l'ours, du lynx et la prolifération des attaques meurtrières de la part des chiens errants, où même des tentatives de vols. C’est ainsi qu’il est actuellement utilisé en Amérique, au Canada, en Orient ou dans les Pays Nordique pour exercer cette fonction de gardien de troupeau dans laquelle il excelle.

 A l’heure actuelle, de nombreux foyers de part le monde apprécient fortement le Patou comme chien de compagnie et l’aiment pour ses caractéristiques exceptionnelles de garde, de fidélité et d’intelligence.

 

Standard de race du chien de montagne des Pyrénées

  Le Chien de Montagne des Pyrénées a un standard érigé par le club de race du pays d’origine de la race à savoir ici la RACP en France. Ce standard reprend les points de l’aspect extérieur du chien auquel ce dernier doit correspondre.

Le montagne est utilisé comme « chien de protection du troupeau en montagne ».

Il est classé par la FCI dans le groupe 2 qui rassemble les chiens de type Pinscher et Schnauzer, Molossoïdes, chiens de montagne et de bouvier suisses.

C’est un chien de type lupo-molossoïde.

Son apparence générale : Chien de grande taille, imposant et fortement charpenté, mais non dépourvu d'une certaine élégance.

Défauts: apparence générale donnant une impression de lourdeur, sans distinction ou dénotant une ressemblance avec le Saint Bernard, le Terre Neuve ou le Léonberg. Chiens gras, mous, lymphatiques ou au contraire d'apparence dangereuse.
Ses taille et poids : Mâles, 70 à 80 cm pour environ 60 kg. Femelles, 65 à 72 cm pour environ 45 kg. On admet 2 centimètres de différence pour les sujets parfaitement typés.
La tête : Elle n’est pas trop forte en comparaison de la taille. Les cotés de la tête sont assez plats; le crâne est légèrement bombé; la saillie occipitale étant apparente, le crâne revêt en sa partie postérieure une forme ogivale. La largeur du crâne en sa partie maximale est sensiblement égale à la longueur. Il se relie en pente douce à un museau large de bonne longueur, aminci à son extrémité. Les babines peu tombantes recouvrent juste la mâchoire inférieure; elles sont noires ou très fortement marquées de noir ainsi que le palais. La truffe est entièrement noire. Défauts: tête trop lourde, crâne trop développé, front bombé, cassure du nez marquée; pigmentation insuffisante des muqueuses; babines trop descendues; tête de forme rectangulaire. Défaut éliminatoire : toute truffe d'une couleur autre qu’absolument noire.
Les yeux : Les yeux doivent être plutôt petits, d'expression intelligente et contemplative sont de couleur brun ambré. Ils sont enchâssés de paupières serrées, bordées de noir et légèrement obliques. Le regard est doux et rêveur.

Défauts: Yeux ronds, trop clairs ou proéminents; paupières tombantes; expression méchante ou hagarde. Manque de pigmentation autour de l'œil. Défaut éliminatoire: ladre aux paupières.
Les oreilles : Elles doivent être placées à hauteur de l'œil; assez petites; de forme triangulaire et s'arrondissant à leur extrémité; elles tombent à plat contre la tête; portées un peu plus hautes lorsque le chien est en éveil.

Défauts: Oreilles trop longues, trop larges, papillotées, plissées, attachées trop haut.
Le cou : Il doit être fort, assez court, avec des fanons peu développés. Défauts: grêle, un peu long, fanons trop prononcés.
Les dents : La dentition doit être complète, les dents saines et blanches. Les incisives de la mâchoire supérieure recouvrent celles de la mâchoire inférieure sans jamais perdre le contact. La dentition en tenaille est admise.

Défauts éliminatoires: prognathisme supérieur ou inférieur.
Les épaules : Elles sont moyennement obliques. Garrot large et musclé.
Le corps : La poitrine n'est pas trop descendue, mais large et profonde. Les côtes légèrement arrondies. Le dos de bonne longueur, large et soutenu, la croupe légèrement oblique avec des hanches assez saillantes. Le flanc peu descendu.

Défauts: ligne de dos ensellée ou voutée, plongeante dans son avant. Ventre levretté.
Les membres : Les membres antérieurs doivent être droits, fermes et bien frangés. Les franges existent également aux membres postérieurs, plus longues et plus fournies. Les cuisses sont gigotées mais peu descendues. Les jarrets sont larges, secs, moyennement coudés. Les membres postérieurs portent chacun des ergots doubles et bien constitués.

Défauts: Jarrets droits, aplombs panards ou cagneux. Défauts éliminatoires: absence d'ergots; ergot simple ou ergot double atrophié aux postérieurs.
Les pieds : Ils sont peu allongés, compacts, avec les doigts un peu arqués. Défauts: pieds trop longs et plats.
La queue : Elle doit être assez longue, touffue et formant panache; portée basse au repos, avec son extrémité formant un crochet de préférence; elle se relève sur le dos en roue appelée "arroundera" selon l'expression pyrénéenne, quand le chien est en éveil. Défauts: queue peu fournie en poils ou mal portée; queue trop courte ou trop longue, sans panache; ne faisant pas la roue en action ou la faisant continuellement, même au repos.
Le poil : Il doit être bien fourni, plat; assez long et souple, plus long à la queue et autour du cou où il peut onduler légèrement. Le poil de la culotte, plus fin et plus laineux est très fourni. Défauts: Poil court ou frisé, absence de sous poil.
La robe : Elle est blanche ou blanche avec des taches grises (ou poil de blaireau) ou jaune pâle ou louvetées ou orange (arrouye) en tête, aux oreilles et à la naissance de la queue. Les taches poil de blaireau sont les plus appréciées. Certains chiens portent quelques taches sur la corps. Défauts: autre couleur que celles indiquées ci-dessus et qui dénoteraient des croisements. Défaut éliminatoire: taches de poil noir jusqu'à la racine.
Les allures : Malgré sa taille, le Montagne des Pyrénées a une allure très aisée, jamais emprunte de lourdeur, mais au contraire très élégante; ses angulations lui permettent des allures soutenues.
Eliminatoire pour les mâles : Monorchidie et cryptorchidie, c'est à dire n'ayant qu'un seul testicule ou pas du tout.

Caractère et éducation du chien de montagne des Pyrénées

  Le chien de Montagne des Pyrénées est un chien de garde fidèle, sensible, paisible, indépendant, autonome, courageux et très intelligent. Il a une intelligence posée, réfléchie et profonde. Il est très attaché à sa famille et est un compagnon de vie très agréable pour qui sait le comprendre. Il sait volontiers être pot de colle mais l’instant d’après vous laisser soudainement pour vaquer à ses obligations.

Il n’est pas le chien d’un seul maître mais le Patou de la famille et le gardien des lieux. Il est doux et affectueux avec les enfants. Il est méfiant vis-à-vis des étrangers qu’il évite d’abord pour mieux observer et finalement approcher.

Son esprit d’indépendance peut le faire paraître têtu. De même il peut vous faire croire qu’il a brusquement perdu l’ouïe lorsque vous lui donnez un ordre. Souvent, c’est parce qu’il vous a déjà obéit une fois et n’estime pas nécessaire de le refaire. Ou bien c’est parce qu’il a mieux à faire et vous obéira pour vous faire plaisir seulement, et parce que vous insistez. C’est aussi sa façon à lui de tester votre autorité et les limites hiérarchiques.

Il se placera souvent en de endroits stratégiques (de passage ou bien duquel il a une vue d’ensemble) d’où il restera paisiblement tout en restant très attentif aux événements inhabituels sur lesquels il réagira rapidement.

Ses caractéristiques de gardien se retrouvent aussi lorsqu’il émettra quelques aboiements lourds pour signaler au loin sa présence.

Il pourrait se montrer fugueur pour agrandir son territoire et partir explorer le monde. Une bonne clôture est donc nécessaire.

Il est volontiers dominant vis à vis de ses congénères ou des maîtres qui n’auront pas su l’éduquer correctement. A noter que les sujets mâles ne s’apprécient pas particulièrement entre eux.

Mais pour qui saura lui montrer la voie à suivre, l’éduquer avec douceur et fermeté, le Patou sera un chien qui vous donnera un amour incommensurrable.

 

 Pour envisager son éducation il faut avoir bien saisi le caractère.

L’éducation commence dès l’acquisition du chiot, à 2 mois. Les maîtres mots sont une main de fer dans un gant de velours. Vous devrez être doux mais conséquent, et travailler avec respect et amour avec le Patou.

De part son intelligence, il comprend tout très vite. Il faut cependant être très patient et répéter les ordres après avoir montré ce qu’on veut de lui.

Une fois que vous aurez dit oui pour quelque chose, il l’aura retenu. Soyez donc conséquent et ferme et logique.

Il faut instaurer une confiance réciproque entre le Montagne et vous. Tout ordre exécuté mérite récompense immédiate, par flatterie par exemple, ce qu’il adore. De même tout acte non désiré doit être puni ou ignoré, ce dont il a horreur. Le ton de la voix ou une attitude corporelle non équivoque doit suffire à vous faire comprendre et respecter.

Il convient d ‘éduquer bien entendu les enfants de la famille à se comporter vis-à-vis du chien en le respectant comme tel avec ses instincts.

Nous conseillons vivement de suivre des cours d’obéissance dès 3 mois, à la fin des vaccinations. Ceci pour vous, maître, pour que vous appreniez le langage « chien » mais surtout pour que votre chien apprenne les ordres de base et soit familiarisé avec d’autres races et des étrangers. N’acceptez cependant pas qu’un éducateur ou étranger prenne votre chiot par la coup, cela pourrait avoir des conséquences dramatique, vu la sensibilité du chien et sa méfiance déjà innée de l’étranger. De même ne faites jamais d’attaque ni de mordant. Cela pourrait, de part son esprit d’initiative, le rendre dangereux. Le rappel, chez cet indépendant né, est à entrainer constamment car assez difficile. La marche au pied est très importante pour que plus trad ce soit bien vous qui le promeniez et pas l’inverse.

Son éducation doit se poursuivre tout au long de sa vie et si elle est réussie, vous offrira des moments de pur bonheur avec un compagnon irremplaçable et une fidélité sans pareille.